Il y a
Il y a là la peinture,
Les oiseaux l'envergure
Qui luttent contre le vent
Il y a là les bordures
Les distances, ton allure
Quand tu marches juste devant
Il y a là les fissures
Fermées les serrures
Comme envolés les cerfs-volants
Il y a là la littérature
Le manque d'élan
L'inertie le mouvement
Parfois on regarde les choses
Telles qu'elles sont
En se demandant pourquoi
Parfois, on les regarde
Telles qu'elles pourraient être
En se disant pourquoi pas
Il y a lalala
Si l'on prenait le temps
Si l'on prenait le temps
Il y a là la littérature
Le manque d'élan
L'inertie le mouvement
Parfois on regarde les choses
Telles qu'elles sont
En se demandant pourquoi
Parfois, on les regarde
Telles qu'elles pourraient être
En se disant pourquoi pas
Il y a là les mystères,
Le silence sous la mer,
Qui luttent contre le temps
Il y a là les bordures
Les distances, ton allure
Quand tu marches juste devant
Il y a là les murmures,
Un soupir, l'aventure
Comme emmêlés les cerfs-volants
Il y a là la littérature
Le manque d'élan
L'inertie le mouvement
Parfois on regarde les choses
Telles qu'elles sont
En se demandant pourquoi
Parfois, on les regarde
Telles qu'elles pourraient être
En se disant pourquoi pas
[Gaëtan Roussel]
Cette mélodie et ces mots de Gaëtan Roussel sussurrés par Vanessa Paradis et mis en image par Johnny Depp, je les trouve juste élégants et émouvants. Ils me touchent et m'émeuvent tout particulièrement.